La duplicité de la lutte contre le mercenariat: entre discours et réalité juridique. Par: Tabouty Koygolo

Le 6 octobre 2022, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies s’est réuni pour décider aux fins de « proroger » ou non le mandat du « Mandat du Groupe de travail sur l’utilisation de mercenaires comme moyen de violer les droits de l’homme et d’empêcher l’exercice du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ». A l’issue du vote 28 voix se sont prononcés pour la continuité du mandat du Groupe, 15 contre, avec 4 abstentions . Si le Brésil, le Kazakhstan, le Mexique et la Somalie se sont abstenus, des pays particulièrement « offensif » sur la lutte contre le mercenariat en droit international ont voté pour, notamment : l’Allemagne, les États-Unis d’Amérique, la Finlande, la France, les Îles Marshall, le Japon, le Lituanie, le Luxembourg, le Monténégro, les Pays-Bas, la Po- logne, la République de Corée, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, la Tchéquie et l’Ukraine.

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